Fuck America, Edgar Hilsenrath



Auteur: Edgar Hilsenrath
Titre Original: Fuck America
Date de Parution : 1980
Éditeur : Points
Nombre de pages : 291
Lu : Avril 2011
Prix : 7€


Résumé : Tout juste débarqué aux Etats-Unis, Jacob Bronsky erre dans le New York miteux des années 1950, parmi les dodos et les putes. L'Américan Way of Life ? Comprend pas. Le rêve américain ? Encore moins. Enchaînant les jobs minables, Jakob Bronsky n'a que deux obsessions : soulager son sexe et écrire un roman sur son expérience des ghettos juifs. Un futur best-seller à coup sûr ! Situations loufoques. Dialogues déjantés. et humour vache à faire pâlir les bien-pensants. Un OVNI littéraire doué de malin plaisir, qui bouscule la narration et les idées convenues.

Mon avis : « Fuck America », C’est un roman, mais quel roman ! Une histoire pas très compliquée. Jacob, un pauvre type, un immigré juif dans les Etats-Unis des années 50’s, un crève la fin qui écrit un roman « Le Branleur ».

Avec un style simple mais incisif Edgar Hilsenrath nous parle de lui, comment la seconde guerre mondial à pu détruire des êtres, des familles. Cette écriture assez simple nous permet de mieux comprendre ce narrateur qui ne vit pas le rêve américain, mais bien la misère aux États-Uns.

Jacob vit un traumatisme qu’il ne sait identifier, son livre est sa psychanalyse.
J’ai beaucoup aimé les dialogues déjantés que l’on trouve dans le livre, il parle d’un sujet très dur avec des mots crus, mais avec un naturel incroyable, il fait fit d’une autodérision qui rend l’ouvrage à la burlesque, drôle et emplie d’émotion, malgré l’écriture assez détaché de l’auteur.

On ressent une certaine mélancolie à la lecture des derniers chapitres, lorsqu’il nous raconte l’histoire de sa famille avec la montée du Nazisme.

Il sera peut être difficile de mettre ce livre entre toutes les mains, mais je vous assure qu’il vaut la peine d’être lu.  

Gremlins, George Gipe



Auteur : George Gipe
Titre Original : Gremlins
Date de Parution : 1984
Éditeur : J’ai lu
Nombre de pages : 282

Résumé : Il était une fois le 24 décembre à Kingston Falls, paisible petite ville des Etats-Unis…

Il était une fois… le cadeau de Noël de M,Peltzer à son fils Billy, fan de BD, de SF et de bestioles en tous genres : une petite boule de fourrure, mi-écureuil, mi-koala, au regard si tendre. On l’appel Gizmo

Mais attention ! C’est un Mogwai, un animal venu d’outre-espace, et le pire peut arriver si on enfreint les règles : nul contact avec l’eau, lumières tamisées, et jamais de repas après minuit.
Hélas ! Un verre d’eau se renverse et c’est l’accident – à savoir la naissance de cinq bébés, assez Gizmo au premier regard mais pas tendre du tout, eux : farceurs, gloutons, diaboliques : des Gremlins !

En une nuit ils sèment la panique : feux de croisement bloqués, ordinateurs en folies et ce n’est qu’un début !

Drôle de Noël pour Kingston Falls…

Mon avis : Voila un livre qui rentre sort de mon Grenier Familial, et je ne regrette pas de l’avoir sortis. J’avais un peu peur de relire ce livre écrit d’après le scénario par l’auteur prolifique de ce genre de livre à l’époque, j’ai nommé George Gipe !

Je ne sais pas si je suis objectif parlant de ce livre, sachant qu’avec retour vers le futur, le film Gremlins était un de mes favoris dans ma tendre jeunesse. Et le livre reste assez fidèle à ce que nous connaissons du film. Le livre comme le film bondissent de gag en gag. Et fait état d’une certaine satire de la société américaine de l’époque. 

En conclusion, je dirais qu’il s’agit d’un livre à mettre entre toutes les mains, il donnera envie peut être aux plus jeunes d’avoir un Mogwai et aux plus vieux, leur rappellerons un film inoubliables…

Gremlins - Bande annonce VO por _Caprice_

Les Street ARt du Jeudi - Episode 8


Vous êtes certainement habituez maintenant à voir surgir chaque jeudi une œuvre picturale rencontrée dans la rue au fil de mes promenades journalières. Aujourd’hui c’est un dessin que je trouve en soit assez beau et simple à la fois, l’auteur aurait pu la faire le faire sur une feuille de papier, mais il a préféré un bout de mûr au ras du sol.

 « L'art urbain, récemment renommé Street art, est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisé dans la rue ou dans des endroits publics et englobe diverses méthodes telles que le graffiti, le pochoir, la mosaïque, les stickers ou les installations. C'est principalement un art éphémère. »

Métamorphose en bord de ciel, Mathias Malzieu



Titre Original: Métamorphose en bord de ciel
Date de Parution : 2011
Éditeur : Flammarion
Nombre de pages : 157
Lu : Avril 2011

Résumé : Cloudman est sans conteste le plus mauvais cascadeur du monde. Ses performances de voltige involontairement comiques lui valent des jours heureux. Jusqu’à ce qu’un médecin le soignant pour une énième fracture décèle chez lui une maladie incurable. Commence alors pour Tom un long séjour hospitalier pour tenter de venir à bout de ce qu’il appelle « la Betterave ». Lors d’une de ses déambulations nocturnes dans les couloirs de l’hôpital, cet homme qui a toujours rêvé de dévorer les nuages rencontre une étrange créature, mi-femme mi-oiseau, qui lui propose le pacte suivant : « Je peux vous transformer en oiseau, ce qui vous sauverait, mais cela ne sera pas sans conséquences. Pour déclencher votre métamorphose vous devrez faire l’amour avec moi. De cette union naîtra peut-être un enfant. Un risque à accepter.

Mon avis : Métamorphose en bord de ciel est un conte pour adulte, écrit avec cette magie que seul Mathias Malzieu est capable de nous offrir. Ce livre est un véritable coup de cœur, chaque lectures faites de cet auteur mon ensorcelé.  Il nous emmène dans son univers.
Depuis « Maintenant qu’il fait tout le temps nuit sur toi », Mathias Malzieu parle avec beaucoup d’images et de poésie du difficile événement que peut être la mort, dans son précédent ouvrage, il part de la mort d’un proche, du deuil, dans celui-ci il est question de sa propre mort et de la lutte contre la maladie.
Mathias Malzieu nous parle de cette « saloperie » de maladie qu’est le cancer, ici il est question de Tom, le plus mauvais cascadeur du monde qui découvre qu’il à un cancer. Malgré sa maladie, notre héros a ce rêve insensé de voler. Et c’est là où repose toute la magie de ce livre, le rêve de Tom va devenir une réalité, mais en contre partie Tom devra laisser son humanité pour devenir oiseau. Mathias Malzieu à voulu nous montrer que malgré cette maladie tristement incurable, il y a encore de l’espoir. Plus Tom se meurt, plus sa métamorphose se complète, Il perd son humanité pour voler et devenir oiseau. 

Mes Lectures du Moment – Episode 8

J’espère que vous avez passez un bon week-end de Pâques et aussi un bon Sant Jordí !
Pour ma part, une telle semaine, pleines de festivités m’a permis de lire un peu et sortir u peu la tête du travail.

Vous avez donc eu le droit aux chroniques suivantes :
Dans le cadre du challenge Stephen King 2011, j’ai lu et chroniqué le très courts roman Un tour sur le Bolid’.
  Dans un genre qui n’a absolument rien à voir j’ai chroniqué la lecture 35 kilos d’espoir d’Anna Gavalda.
Et comme cette semaine fut courte, j’ai eu plus de temps pour lire, ainsi j’ai lu mais toujours pas chroniqué Métamorphose en bord de ciel de Mathias Malzieu, un concentré de poésie…
J’ai aussi lu un livre assez loufoque Fuck America d’Edgar Hilsenrath
 Et au niveau de mes nouvelles lectures, je suis pour le moments assez perdu, je ne sais pas quoi lire, ainsi, je ne vous en parle pas et vous le découvrirai bien assez tôt

Et je vous invite à découvrir le nouveau livre de Stephen King prévue pour le 8 novembre 2011 aux États-Unis et en Angleterre ici.

11/22/63, Stephen King


Je ne pouvais pas passer à côté de l’occasion de vous présenter le nouveau roman de Stephen King qui sortira le 8 novembre 2011 prochain aux Etats-Unis et en Angleterre.

Dans ce nouveau roman, il sera question d’un homme qui voyage à travers le temps afin d’empêcher l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy.

Juste pour vous mettre l’eau à la bouche voici le résumé que nous pouvons trouver sur la page officielle de Stephen King.

Le 22 Novembre 1963, trois coups de feu ont retenti à Dallas,
Le président Kennedy est mort, et le monde a changé.

Si vous pouviez de changer l'histoire, que se passerait-il ?

Jake Epping professeur d’anglais de trente-cinq ans à Lisbon Falls, dans le Maine, il donne des cours à des adultes dans le cadre du programme de GED. (Equivalent du brevet des collèges). Un jour, Il reçoit un essai de l'un de ses étudiants, une macabre et déchirante histoire, écrite à la première personne. Ce la se déroule de nuit, il y à de cela 50 ans, le père de Harry Dunning est rentré à la maison et a tué sa mère, sa sœur, et son frère avec un marteau. Harry s'enfuit avec une jambe brisée, comme en témoigne sa marche de travers.

Un peu plus tard, un ami de Jake Al, qui dirige le restaurant local, divulgue lui révèle un secret: sa réserve est une porte ouverte sur l’année 1958. Il enrôle Jake dans une folle et impossible mission pour tenter d'empêcher l'assassinat de Kennedy.

Ainsi commence une nouvelle vie pour Jake sous un nouveau nom, George Amberson, dans un monde où vivent encore Elvis et JFK. Il connaîtra un jeune solitaire en difficulté du nom de Lee Harvey Oswald et une belle grande bibliothécaire nommée Sadie Dunhill, qui devient l'amour de sa vie. Une vie qui transgresse toutes les règles normales de temps.
 
“Ce roman est splendide, ambitieux et fini par nous envouter. King à intégré la culture social, politique et populaire de sa génération de forme imaginative et méticuleuse comme personne » affirme Chuck Verrill de Darhansoff & Verrill, qui n’est autre que l’éditeur ayant les droits sur le nouveau roman de Stephen King aux Etats-Unis.

Pour en savoir plus je vous propose de visiter la page officiel de Stephen King ici

Bilbo le Hobbit enfin adapté au Cinéma

Voila une nouvelle que les fans de Tolkien attendaient depuis bien longtemps maintenant. Après de multiples retards, le désistement de Guillermo del Toro et les problèmes de santé de Peter Jackson (qui avait déjà adapté les trois volets du seigneur des anneaux), le tournage de Bilbo le Hobbit à enfin commencé le 21 mars dernier. La sortie cinéma aura lieu en deux volets, respectivement diffusée en décembre 2012 et décembre 2013. Pour ceux qui ne le savent pas encore, l’histoire de Bilbo le Hobbit est antérieure à la trilogie du seigneur des anneaux. 
 Pour la petite histoire Bilbo le Hobbit, premier livre qui explore la terre du milieu, est publié le 21 septembre 1937 au Royaume-Uni où il rencontre un franc succès incitant l’éditeur Allen & Unwin à demander une suite à J.R.R Tokien, qui donnera naissance à la trilogie que tout le monde connait du seigneur des anneaux.


Un tour sur le Bolid', Stephen King


 
Auteur: Stephen King     
Titre Original: Riding the Bullet
Date de Parution : 2000
Éditeur : Livre de Poche
Nombre de pages : 96
Lu : Avril 2011

Résumé : "... celui qui mène le bal - Dieu, ou tu l'appelleras comme tu voudras - doit adorer s'amuser. [...] Mais cela ne peut se faire que dans des circonstances bien précises. Comme ce soir. Toi, tout seul dans la nature... ta mère malade... besoin d'un moyen de transport... Dans moins de dix kilomètres, on va commencer à voir les premières maisons. Dans moins de quinze, on atteindra les limites de la ville. Ce qui signifie qu'il faut que tu te décides tout de suite. - Que je décide quoi ? - Qui monte dans le Bolid' et qui reste à terre. Toi ou ta mère. " Une nouvelle diabolique, la première diffusée, en anglais, sur le Net.

Mon avis : Encore une lecture de Stephen King que je fais rentrer dans le Challenge Stephen King 2011. Je vous promets cependant que j’essaierai de lire un autre livre de l’auteur pour la catégorie des années 2000’s avant la fin de l’année, car je dois reconnaître que ce livre est un peu court et écrit en assez gros caractères.

Nous savons pour la majeur partie d’entre nous que de toute manière les années 2000’s, ne sont pas les meilleur pour le Maître du Suspens et de l’horreur. Cependant ce petit livre a le mérite d’être assez prenant. Tout commence sur les chapeaux de roues. Alan Parker apprend par téléphone que sa mère vient d’être hospitalisée. Sa voiture en mauvaise état ne lui permet pas de la prendre est décide de faire du stop. Dans un premier temps il monte dans avec un ancien, dont la voiture pue la pisse, en cours de route l’ancien lui propose de l’accompagner jusqu’au bout mais il refuse, il n’aurait peut être pas du, il finira le trajet avec la mort. 

La mort qui ici s’appelle Georges Staub, met notre narrateur dans un dilemme bien difficile : qui doit mourir ? Lui jeune homme à la force de l’âge, ou sa mère âgée de 48 ans qui fume comme un pompier et qui de surcroit à de l’embonpoint ?

Stephen King une nouvelle fois a réussit à m’angoisser et au final m’a posé la pire de question à moi lecteur. Si je devais moi-même choisir entre ma mère et moi face à le mort qui devrais-je condamner ? Je n’ose répondre, les deux solutions ne peuvent qu’amener le malheur.

Cette lecture à eu lieu dans le cadre du challenge Stephen King 2011, dans la catégorie décennie 2000's


Les Street ARt du Jeudi - Episode 7


Pour illustré la chronique Street ARt, j’ai choisi aujourd’hui de nouveau un pochoir, qui cette fois ci, représente le bonhomme du Monopoly avec des croix à la place des yeux. Je ne sais pas exactement le message qu’à voulu faire passer l’artiste, mais pour ma part j’ai tout de suite pensé au capitalisme qui part à vau-l'eau. Hier soir cherchant dans mes archives l’illustration  que j’allais mettre aujourd’hui, je suis tombé sur celle-ci. Au même moment la télévision était retransmit un match entre le F.C Barcelone et le Real Madrid. Avec 22 millionnaires capricieux courant sur un terrain pour rattraper la balle. Et là je me suis dis que ce pochoir prenait ici tout son sens

 « L'art urbain, récemment renommé Street art, est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisé dans la rue ou dans des endroits publics et englobe diverses méthodes telles que le graffiti, le pochoir, la mosaïque, les stickers ou les installations. C'est principalement un art éphémère. »

35 kilos d'espoir, Anna Gavalda



Auteur: Anna Gavalda
Titre Original: 35 kilos d’espoir
Date de Parution : 2002
Éditeur : Bayard Jeunesse
Nombre de pages : 111
Lu : Avril 2011

Résumé : Grégoire déteste l'école, si fort qu'en sixième il a déjà redoublé deux fois. Le seul endroit qu'il aime, son refuge, c'est le cabanon de son grand-père Léon, avec qui il passe des heures à bricoler.

Quand Grégoire est renvoyé du collège, pourtant, Léon est furieux. II renonce à consoler son petit-fils et lui refuse sa protection. II est temps, peut-être, que Grégoire accepte de grandir...

Mon avis : Je ne veux pas raconter de bêtises, mais si je ne me trompe pas, ce roman jeunesse d’Anna Gavalda est son seul et unique dans le genre.  Il semble être un pari réussit pour l’auteur. Dans ce livre qui se lit très rapidement, en à peine une petite heure. L’auteur de forme assez directe parle de problèmes d’adolescent, le rapport à l’école et les liens familiaux.
Les parents de Grégoire ne s’entendent plus leur relation se dégradent petit à petit, Grégoire ne semble pas fait pour l’école, ce qui tombe bien car lui n’on plus n’aime pas l’école. El il y a son grand père avec qui il vit une relation tendre et complice. C’est cette même relation qui lui démontrera que pour avoir des ambitions professionnelles, il faut aussi avoir un certain bagage scolaire. 

Voici un petit passage du livre que j'ai beaucoup apprécié:
"Monsieur le directeur de l'école de Grand-champs,
 
Je voudrais être admis dans votre établissement, mais je sais que c'est impossible parce que mon dossier scolaire est trop mauvais.
J'ai vu sur la publicité de votre école que vous aviez des ateliers de mécanique, de menuiserie, des salles d'informatique, une serre et tout ça.
Je pense qu'il n'y a pas que les notes dans la vie. Je pense qu'il y a aussi la motivation.
Je voudrais venir à Grand-champs parce que c'est là que je serais le plus heureux, je pense.
Je ne suis pas très gros, je pèse 35 kilos d’espoir.
 
Au revoir,
Grégoire Dubosc.
 
P.S. n°1 : C'est la première fois que je supplie quelqu'un pour aller à l'école, je me demande si je ne suis pas malade.
P.S. n°2 : Je vous envoie les plans d'une machine à éplucher les bananes que j'ai fabriquée quand j'avais sept ans."