Lettres du père Noël, J.R.R. Tolkien


Titre Original: Lettres du père Noël
Date de Parution : 2010
Éditeur : Pocket
Nombre de pages : 112
Lu : Novembre 2011
Prix : 7.80€


Quatrième de couverture : Plus connu pour ses travaux universitaires et pour l'invention de la Terre du Milieu, J.R.R. Tolkien est aussi un formidable auteur de contes pour enfants. Comme Bilbo le Hobbit et Roverandom, les Lettres du Père Noël ont d'abord été destinées à ses trois fils et à sa fille, auxquels, chaque année, entre 1920 et 1943, Tolkien a écrit une lettre (parfois deux) prétendument envoyée du Pôle Nord par le Père Noël ou l’Ours Polaire.
Ces trente lettres (dont quinze traduites pour la première fois, dans cette édition revue et augmentée) forment un récit très prenant des aventures du Père Noël et de l'Ours du Pôle Nord, et de leurs démêlés avec les gobelins, qui plaira aux enfants, à leurs parents, et surprendra plus d’un amoureux de Tolkien 

Mon avis : Nous approchant des fêtes de Noël, je me suis dis qu’il était temps de revenir sur un livre peu connu de T.R.R. Tolkien : les lettres du père Noël. On découvre dans ce live un Tolkien bien différent.

Mes Lectures du Moment – Episode 35


Cette semaine j’ai enfin chroniqué les livres dont je vous parlais la semaine dernière.
SOS Flemmards de Sandra Ganneval, livre plein d’humour, il faut souligner que ce roman est une auto-édition.
 

Cette semaine à aussi était l’occasion de chroniquer un recueil de Manga Histoires courtes de Naoki Urasawa
  
J’ai lu la semaine dernière Doubt de Yoshiki Tonagai, manga triller en 4 tomes, que je vous présenterai la semaine prochaine.

Je suis à l’heure actuelle dans la lecture de Boum ! de Mark Haddon.



Le 11 décembre c’est mon Blog Anniversaire, j’ai donc décidé de mettre en place un concours que vous pourrez découvrir le 1 décembre, à la clé vous pourrez gagner le livre de votre choix.

Histoires courtes de Naoki Urusawa


Auteur: Naoki Urasawa
Titre Original: Shoki no Urasawa
Date de Parution : 2000
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 568
Lu : Novembre 2011
Prix : 15,00€


Quatrième de couverture : Voici un recueil d'histoires courtes de jeunesse de Naoki "Monster" Urasawa dans lequel on peut déjà deviner toute la maestria de l'auteur.
Ces histoires datent de 1980 à 1986. On pourrait citer l'histoire intitulée "Return" qui valut à Naoki Urasawa le prix du meilleur manga -jeunes talents chez Shogakukan. Pourtant c’est dans chacun des récits rassemblés ici qu’on trouve l’esprit Urasawa : une manière inimitable de raconter les histoires, l’art de captiver le lecteur, son incroyable virtuosité pour le maintenir en haleine.
Parmi ces récits, des histoires en 8 pages qui devaient servir en remplacement au cas où le maître OsamuTezuka ne rendrait pas ses planches à temps. Remplaçant de Tezuka, rien que ça !
Voilà les premiers pas du père de Pluto…

Mon avis : Il y a quelques temps j’avais lu la série 20th Century Boys dans son intégralité et déjà à ce moment là, je m’étais rendus compte que j’aimais beaucoup Naoki Urasawa comme Mangaka. Ainsi lorsque j’ai vu qu’il existait ce recueil d’histoires courtes, je me suis littéralement jeté dessus et bien entendu je n’ai absolument pas étais déçus.

Dans ce recueil, on retrouve l’ensemble des histoires que Naoki Uraswa a pu écrire à ses débuts entre 1981 et 1985.

Si comme moi vous êtes enfant des années 80’s, vous allez adorer l’humour que vous trouverez au long de ses pages, en lisant ce manga, j’avais l’impression de retrouver nos série animés du mercredi après-midi…

Malgré que j’aie pu adorer l’ensemble du recueil, si je devais avoir une préférence pour certaines histoires, mon choix serait le suivant :
Vous seriez invité à découvrir les aventures de Policeman, Yamashita est un jeune homme fraichement rentré dans la police non par choix personnel mais pas décision maternelle. Il est plus enclin à dragué les jeunes filles que faire régner l’ordre.

Scénario est une histoire très courte et hilarante, deux individus montent un scénario pour réussir un braquage de banque.

Return se déroule dans une époque post-apocalyptique, la guerre entre les hommes et les robots a vue la victoire des hommes, mais a quel prix ? la planète est dépeuplée les derniers survivants se débarrassent des robots restant, c’est dans ce contexte difficile que va se créer une amitié netre un robot et un jeune garçon.

Et pour finir lisez donc Mighty Boy Hayada travaille comme acteur pour série jeunesse (série du genre Bioman) pour payer ses études qu’il oublie bien vite. Il aimerait être dans la vie le super-héros qu’il est au petit écran…

En conclusion, je dirais que c’est officiel maintenant j’adore en particulier deux Mangakas dans deux genres différents le premier JiroTaniguchi et suit de très près  NaokiUrasawa.

Pour vous Noel sera Synonyme de...



Ceux qui me connaissent un peu seront que j’aime bien faire des petits sondages, juste pour savoir, par curiosité.

Voyant les fêtes de Noël arriver je me suis dis : Cette année ca va être quoi le cadeau phare de mes amis Bloggeur Lecteurs Liseurs ? Etant un peu Geeks et aussi Lecteur, je n’ai vue que trois options possibles!

Une tablette que ce soit de la marque à la pomme ou bien encore d’une autre aussi bien sous androïd. Car avec on peut lire, naviguer sur internet ou bien encore jouer (ou pas) avec des milliers et des milliers d’applications.

Un ebook, enfin une liseuse car avec au contraire de la tablette je ne m’abîme pas les yeux et moi ce que je veux c’est lire des livres, et avec un ebook je peux avoir ma bibliothèque sur moi.

Non NON et encore NON ce que je veux pour Noël c’est un bon vieux livre papier, je veux avoir le plaisir du touché, ce petit bruit de froissement En plus un vrai livre c’est bien mieux que toute cette nouvelle technologie…



Court Métrage du Dimanche - Alpha


Un court métrage d'animation par: Nicolai Slothuus, Matthias Æ. Bjarnasson, Christian Sørensen Munk

Résumé : La course aux étoiles est en marche. En tant que nations en compétition, nous suivons la progression d'un chimpanzé qui a été recruté dans le programme spatial. Ses résultats pourraient s'avérer influente pour le bien de toute l'humanité. ... va-t-il à relever le défi

Par: Nicolai Slothuus, Matthias Æ. Bjarnasson, Christian Sørensen Munk
Direction, Script, Graphisme, Storyboard, Layout, Animation: Nicolai Slothuus, Matthias Æ. Bjarnasson, ChristianSørensen Munk
Producteur: Michelle Nardone
Contexte: Christian Sørensen Munk, Andreas Thomsen
Musique / son: Jakob Gadegaard, Mathias Winum, Thomas Almark
Modification: Matthias Æ. Bjarnasson

Courts métrages d'animation de animwork.dk
Alpha from The Animation Workshop on Vimeo.

SOS Flemmards, Sandra Ganneval


Auteur: Sandra Ganneval
Titre Original: SOS Flemmards
Date de Parution : 2011
Éditeur : Sandra Ganneval Éditions
Nombre de pages : 330
Lu : Novembre 2011
Prix : 11,70€



Quatrième de couverture : Qui n'a pas souhaité devenir riche sans pour cela le ver le petit doigt?
C'est le rêve éveillé que fait Joseph, le jour où il reçoit dans sa boîte e-mail le message d'un certain Monsieur Mumba.
Heureusement, Joseph, amateur de bière, coureur de jupons et moqueur invétéré, a comme garde-fou son ami Martial. Tous deux, "adulescents" attachant, se fraient bon gré, mal gré, un chemin dans leur vraie vie.

Mon avis : J’ai eu l’honneur de me voir proposer ce livre pour un partenariat directement par Sandra Ganneval. Avant toute chose, il faut souligner qu’elle à fait le parie de l’auto-edition. Et ce roman est la preuve qu’auto-éditer un livre n’est pas que synonyme d’ouvrage illisible et ennuyeux.

Ce livre à une certaine fraicheur, une comédie comme on aimerait en lire plus souvent, une tranche de vie des deux amis Joseph et Martial que l’on voit évoluer tout au long de notre lecture.

J’ai beaucoup aimé la première partie où il est question des instituts de sondage, peut être du fait que je suis toujours un peu dans le domaine, je me suis d’ailleurs empressé de partager cette lecture avec d’ancien collègues qui ne cessent de me dire « Mon Dieu ! C’est tellement vrai ! ».

Un livre bourré d’humour, où plus d’un d’entre nous pourra ce reconnaitre, même qu’un petit peu. Sandra Ganneval par son phrasé simple mais efficace nous donne plaisir à suivre les aventures de ces deux troublions que sont Joseph et Martial. 

Le Petit Questionnaire de Proust posé à Michel Quint


Mais que peut bien être le questionnaire de Proust, beaucoup d’entre vous le savent, mais il est fort possible que d’autres l’ignorent, pour cette même raison, je me permettrais de faire un petit rappel avant de rentrer dans le vif du sujet.

Proust découvre ce test à la fin du XIXe siècle, alors qu'il est encore adolescent. Ce jeu anglais datant au moins des années 1860 était nommé Confessions. Celui-ci figure dans un album en anglais de sa camarade Antoinette, fille du futur président Félix Faure, dont le titre original est « An Album to Record Thoughts, Feelings, &c » (un album pour garder pensées, sentiments, etc.). À cette époque, ce genre de jeu est en vogue ; la mode en vient d’Angleterre : les questionnés peuvent y dévoiler leurs goûts et leurs aspirations.

Michel Quint est un écrivain français. Il est titulaire d'une licence de Lettres classiques et d'une maîtrise d'études théâtrales. Professeur de Lettres Classiques, l'auteur commença par écrire du théâtre pour Théâtre Ouvert, puis pour France Culture, qui diffusa également ses feuilletons radiophoniques.

Il obtient le Grand prix de littérature policière en 1989 pour Billard à l'étage . Son roman le plus connu du grand public Effroyables jardins, paru en septembre 2000 aux éditions Joëlle Losfeld, a été adapté au cinéma par Jean Becker en 2003 et de nombreuses fois porté au théâtre.

L'auteur, qui a enseigné au Lycée Baudelaire de Roubaix, a quitté l'Éducation nationale en septembre 2009.
Il anime une chronique de littérature sur la chaîne de télévision par TNT Wéo, émise dans le Nord-Pas-de-Calais.

Quel est votre principal trait de caractère ?
La bougonnerie (Sais pas si ça existe, ou alors l'ourserie),
La qualité que vous préférez chez un homme ?
La liberté d'esprit
La qualité que vous préférez chez une femme ?
La liberté d'esprit
Ce que vous appréciez le plus chez mes* amis ?
Je ne connais pas vos amis mais j'aime que les miens soient fidèles
Quel est votre occupation préférée ?
Écrire
Quel est votre rêve de bonheur ?
Améliorer celui que je vis
Quel serait votre plus grand malheur ?
Perdre un proche
Ce que vous voudriez être ?
Ce que je suis en mieux
Le pays où vous désireriez vivre ?
La France où je vis
Vos auteurs favoris ?
Pavese, Flaubert, Apollinaire, Desnos, Schlink....
Vos héros de romans favoris ?
Don Quichotte, Meursault,
Vos héros dans la vie réelle ?
Les humbles (Même s'ils obtiennent le prix Nobel ou sont connus universellement, aussi bien Pasteur ou Camus qu'une petite dame qui doit travailler pour compléter sa retraite)
Vos noms favoris ?
les noms communs?: dignité
Le don de la nature que vous voudriez avoir ?
L’oreille musicale
Quelles sont les fautes qui vous inspirent le plus d’indulgence
Celles qui ne lèsent personne sauf leur auteur
Quelle est votre devise ?
Quand j'étais en prépa j'avais inscrit "Nihil obstat" sur mon calot d'hypokhâgneux, maintenant je doute un peu des devises.

Après ce petit questionnaire de Proust, quelques questions sur votre actualité pour conclure :
Quels sont vos projets actuels ?
Je préfère tâcher d'être à la mesure de mes projets.

Encore une fois merci à Michel Quint de s’être prêté au jeu du Petit Questionnaire de Proust 

*Vous noterez ici une petite erreur de ma part, la question était bien : Ce que vous appréciez le plus chez vos amis ?


Toujours plus proche avec Facebook ou le Phénomène du Petit monde.


Le monde devient de plus en plus petit, ou alors les réseaux sociaux nous rapprochent les uns les autres chaque jour de plus en plus. C’est bien ce que vient de nous démontrer une équipe de chercheurs du réseau social Facebook en collaboration avec l’Université de Milan.

Ils sont partis de la théorie de Stanley Milgram et Jeffrey Travers, appelé le « phénomène du petit monde » (appelé aussi effet du petit monde également connu sous le vocable « paradoxe de Milgram » car ses résultats semblent contraires à l'intuition) est l'hypothèse que chacun puisse être relié à n'importe quel autre individu par une courte chaîne de relations sociales. Ce concept donna naissance, après l'expérience du petit monde, conduite en 1967 par le psycho-sociologue Stanley Milgram, au concept de « six degrés de séparation ». Celui-ci suggère que deux personnes, choisies au hasard parmi les citoyens américains, sont reliées en moyenne par une chaîne de six relations.

Le protocole de la première expérience de « petit monde », décrite dans un article non-daté et intitulé « Results of Communication Project », est le suivant : Milgram envoie 60 lettres à des recrues de la ville d'Omaha dans le Nebraska. Il leur demande de faire suivre cette lettre à un agent de change, vivant à une adresse fournie, dans la ville de Sharon dans le Massachusetts. Les participants pouvaient seulement passer les lettres, de main à main, à des connaissances personnelles qu'ils pensaient être capable d'atteindre l'objectif, directement ou via les amis des amis. Bien que cinquante personnes se soient prêtées à l'expérience, seulement trois lettres arrivèrent à destination. Le célèbre article de 1967 de Milgram décrit le fait qu'une lettre ne mit que quatre jours pour atteindre sa destination, mais négligea de mentionner que seulement 5 % des lettres réussirent à rejoindre leur cible.

Revenons quelques instant sur Les six degrés de séparation, théorie établie par le hongrois Frigyes Karinthy en 1929 qui évoque la possibilité que toute personne sur le globe peut être reliée à n'importe quelle autre, au travers d'une chaîne de relations individuelles comprenant au plus cinq autres maillons.
C’est dans ce cadre que nos chercheurs ont pu définir qu’avec le développement des réseaux sociaux, notamment Facebook, le degré de séparation moyen pouvait être mesuré précisément à 4,74. Tandis qu’en France les utilisateurs Facebook ne sont séparés que de 3 degrés. Chose de plus en plus évidente grâce aux liens visibles que nous avons avec des personnes que nous ne connaissons pas, les amis d’amis que nous suggère régulièrement notre réseau social favori.

Street ARt du Jeudi – Episode 34


Cette semaine dans les street ARt du Jeudi. Nous sommes encore dans les rues de Barcelone. Je suis tombé par hasard  sur cette œuvre éphémère, une mosaique faite avec des petits carrés de pvc…

« L'art urbain, récemment renommé Street art, est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisé dans la rue ou dans des endroits publics et englobe diverses méthodes telles que le graffiti, le pochoir, la mosaïque, les stickers ou les installations. C'est principalement un art éphémère. »

3e édition du festival de Bd de Neuilly sur Marne le 26 Novembre


.Le 26 Novembre aura lieu la 3e édition du festival de Bd de Neuilly sur Marne (93) à l’hôtel de ville (1 place François Mitterrand) de 09h00 à 18h00.

Seront présent une trentaine d’auteurs parmi lesquels François Bourgeon, André Cheret, Erroc, Claude Lacroix, Jérôme Eho (auteur de l’affiche) Patrice Serres, Franck Margerin, Catherine Meurisse, Jean-Claude Morchoisne, Fabien Moustrou, Betty Ruby, Loïc Saulin,, Shima, Paul Puvilland, Robin Walter…

Hôtel de Ville – 1 place François Mitterrand – 93300 Neuilly-sur-Marne

Séparée: Vivre l'expérience de la rupture, François de Singly


Auteur: François de Singly

Titre Original : Séparée:Vivre l'expérience de la rupture

Date de Parution : 2 novembre 2011
Editeur : Armand Colin
Nombre de pages : 240
Prix : 17,50€

Je n’ai pas lu ce livre, mais lorsque je l’ai vu en partenariat sur Livraddict, je me suis exclamé : François de Singly ! C’était mon prof à la fac, si ma mémoire est bonne (car cela fait près de 10 ans maintenant) il enseignait la sociologie de la famille. Alors je ne pouvais faire autrement que vous le présenter… Et bien entendu, il est fort probable que je le lise bientôt.

Quatrième de couverture : Les trois quarts des séparations et des divorces sont demandés par les femmes.
Pour la première fois, un sociologue s’empare de ce fait de société, en analysant le récit des femmes qui ont rompu. Il découvre que la séparation n’est pas seulement une expérience de désenchantement et d’épreuves à franchir. Aussi douloureuse soit-elle, elle apparaît aussi comme une étape par laquelle la femme moderne s’affranchit. 
Cette émancipation revêt plusieurs formes. Certaines femmes se détachent pour survivre (mieux vaut divorcer que périr dans le couple), d’autres veulent passer à autre chose dans une logique de progression individuelle. Et puis il y a celles qui ne veulent plus porter le couple, jugeant que leur conjoint ne l’a pas assez investi.
À chacune sa formule de séparation pourrait-on penser. Mais par un habile jeu de miroir, François de Singly nous présente l’expérience de la rupture comme le reflet de la vie conjugale : on se sépare comme on a vécu ensemble. Et on se sépare, aussi, pour vivre différemment, pour se trouver et s’accomplir.

Mes Lectures du Moment – Episode 34


Cette semaine, je n’ai chroniqué aucun livre, ce qui ne veut pas dire que je n’ai pas lu bien au contraire.

Comme je le disais la semaine dernière j’ai lu Histoires Courtes de Naoki Urasawa, que je vous présenterai cette semaine.
Il me reste encore quelques pages de SOS Flemmards e Sandra Ganneval, livre plein d’humour…


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Les Hasards nécessaires, Jean-François Vézina


Auteur: Jean-François Vézina
Titre Original: Les Hasards nécessaires, le rôle des coïncidences dans les rencontres qui nous transforment
Date de Parution : 17 novembre 2011
Éditeur : Pocket
Nombre de pages : 282
Prix : 7€

Quatrième de couverture: Nous avons tous fait l'expérience de coïncidences déroutantes qui semblent réfuter le hasard, orchestrées dans un but qui échapperait à notre conscience. Nous avons tous rencontré« par hasard », à des moments précis de notre vie, des personnes qui en ont radicalement changé la trajectoire. Qu'est-ce qui nous prédispose à de telles rencontres ? 
Inspiré par le concept de synchronicité du psychiatre Carl Gustav Jung, et à la lumière de métaphores tirées de la théorie du chaos, ce livre parcourt de nouvelles voies de compréhension du rôle des coïncidences dans les relations qui nous transforment. 

« Un bel essai, qui ouvre des perspectives étonnantes sur les pouvoirs insoupçonnés de l'esprit humain. »Psychologies magazine