Les Street ARt du Jeudi - Episode 17

Avec cet épisode 17, nous retournons à des classiques, deux graffitis de chaque côté d’une ancienne boutique, qui avec la crise est devenue un logement d’habitation. J’aime à penser que ces deux graffs sont là pour nous rappeler qu’auparavant il y avait une boulangerie…


« L'art urbain, récemment renommé Street art, est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisé dans la rue ou dans des endroits publics et englobe diverses méthodes telles que le graffiti, le pochoir, la mosaïque, les stickers ou les installations. C'est principalement un art éphémère. »

Femme au miroir le Nouveau roman d'Eric-Emmanuel Schmitt

 Il est toujours de bon ton d’être inscrit aux NewsLetter de certains auteurs.

Ainsi que ce matin, qu’ai-je reçus comme courriel ? La lettre d’information d’un de mes auteurs fétiche Éric-Emmanuelle Schmitt, qui nous présente très ou trop brièvement son nouveau roman qui paraîtra le 18 août 2011 : La femme au miroir.

Dans cette même lettre d’information on découvre aussi la couverture de ce nouveau roman.
Le quatrième de couverture est le suivant : 
 « Trois femmes, Trois siècles. Et si c’était la même ? »

Éric-Emmanuelle Schmitt nous laisse un petit message que je vous laisse découvrir.
« L'encre sur mes feuilles n'est pas encore sèche que l'imprimerie tourne déjà. Cinq cent pages ! Quinze ans de réflexion. Je n'avais pas rencontré de sujet qui me demande cinq cent pages d'écriture depuis La Part de l'autre. D'ailleurs, il y a des points communs entre ces deux romans, les jeux de miroirs, la structure contrastée, le rapport entre l'histoire individuelle et l'Histoire collective. Mais je ne sais pas encore en parler, j'ai encore la truffe collée aux phrases. Vous en discuterez mieux que moi. Comme toujours.

Avec mes meilleurs sentiments,

Eric-Emmanuel Schmitt »

Il va de soit que je serai au rendez-vous le 18 août pour découvrir ce nouveau roman de 500 pages… ;)


Japan Expo / Comic Con' 2011 du 30 juin au 3 juillet.



 A partir du 30 juin et jusqu’au 3 juillet 2011 ouvre la Japan Expo et la Comic Con’ au Parc d’exposition de Pars-Nord Villepinte. 

Avec comme chaque année un programme époustouflant.  

Pour ma part j’ai retenu deux événements important le premier pour la Japan Expo qui présentera une exposition sur Osmu Tezuka, le Papa d’Astro le petit Robot et précurseur du manga et l’animation moderne




Le second et non des moindre se passera a la Comic con’, avec une rencontre avec Steven Moffat scénariste et showrunner de Doctor Who, de Sherlock Holmes (la série) et du prochain film Tintin de Steven Spielberg et Peter Jackson.

Mes Lectures du Moment - Episode 17


Voila bien longtemps que je n’avais pas lu de littérature contemporaine et cette semaine je me suis régalé avec une lecture faite et chroniqué et une lecture en cours.

Comme vous vous en douterez la lecture en cours été «En finit-on jamais d’aimer ceux que l’on aime de Martine Moriconi

Et je suis en train de lire Topolina d’Astrid Waliszek, pour la petite anecdote, le livre m’a était offert directement par l’auteur que je remercie tout particulièrement.

Et bien entendu dans mon éternelle série 20th Century Boys, j’en suis au tome 17.

Vous pouvez retrouver la liste non exhaustive des livres pour la rentrée littéraire 2011  ici 

En finit-on jamais d'aimer ceux que l'on aime, Martine Moriconi



Auteur: Martine Moriconi
Titre Original: En finit-on jamais d’aimer ceux que l’on aime
Date de Parution : 2011
Éditeur : Robert Laffont
Nombre de pages : 198
Lu : Juin 2011
Prix : 18€


Résumé :  Pauline et Guillaume, Elisabeth et Pierre, Benjamin, Olivier... Dans les années 80, ils étaient inséparables, de ces amitiés qui se nouent à l'aube de l'âge adulte et qui durent pour la vie, même quand la vie nous fait prendre des chemins différents. Vingt-cinq ans plus tard, à l'heure des premiers bilans de la cinquantaine, Pierre et Elisabeth ne savent plus pourquoi ils sont toujours ensemble ; Benjamin papillonne comme un éternel ado, Olivier tire sa révérence. Et Pauline... Contre toute attente, Pauline retrouve Guillaume, le seul à s'être clairement éloigné de tous les autres. Ils ont tellement joué « je t'aime moi non plus » tous les deux, et ça s'est si mal terminé... Espérer contre l'évidence, les statistiques, les leçons du passé, bref la raison la plus élémentaire, que vingt-cinq ans plus tard les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets : Pauline a conscience de son inconscience. Mais le coeur a ses raisons, etc. Le coeur a ses secrets, aussi : pour ne pas réveiller les démons du passé, Guillaume demande à Pauline de taire leur histoire. Vouloir garder un tel secret devant ceux qui vous connaissent le mieux et qui vous ont ramassée en miettes après la rupture, c'est une gageure. Presque aussi risquée que de ne pas tourner le dos à cette deuxième chance que lui offre la vie. D'ailleurs, Pauline n'est plus si sûre de vouloir la saisir...Avec comme fil rouge l'histoire de Pauline et Guillaume, un « Vincent, François, Paul et les autres » d'aujourd'hui qui nous tend, avec humour et tendresse, le miroir de toute une génération.

Mon avis : Que de promesses dans le titre de ce livre : « En finit-on jamais d’aimer ce que l’on aime ? » Voila une question que l’on se pose tous un peu, quelle sera la marque du temps sur nos amitiés, nos amours.

Martine Moriconi nous offre un livre facile à lire et léger, l’écriture est simple et sans fioritures, elle ne marquera peut être pas son temps par le style mais ce livre gagne tous son intérêt dans la thématique abordée par livre. L’auteur parle avec réalisme des relations de vingt ans, les gens changent et l’amitié qui les relient aussi. 

Le roman est en perpétuelle feedback donnant corps aux événements présents. 

En lisant ce livre, je me suis posé la question de mes amitiés d’aujourd’hui, de mon groupe d’amis, comment seront nous dans vingt ans lorsque nous en aurons cinquante? Moriconi touche dans ce premier roman des thèmes sensibles tel que le suicide, le chômage, le mensonge, l’infidélité, tous ces petits drames du quotidien qui peuvent entrer au cours du temps dans n’importe quel groupe d’amis.

Il est aussi question d’amour et de couple, et cette question que nous nous sommes tous posé à un moment donné, de la personne que l’on aime aujourd’hui continuerons nous de l’aimer demain ?

Ce livre est à la fois rapide et agréable à lire. Roman français qui n’a pas la prétention de faire de la grande littérature, mais  gagne à mes yeux par la thématique abordée : Le temps qui passe, l’amour et l’amitié.

 

Cette lecture a été fait dans le cadre d'un partenariat avec Livraddict et Robert Laffont
Je remercie
 


Spider-Man ou une mort programmée.


 
Ils ont osés, ils ont tués un Super Héros pour de vrai ! Peter Parker qui n’est autre que Spider-Man doit mourir, et il va mourir tué par l’horrible et abominable Bouffon vert. Nous  verrons cette image tragique de Peter Benjamin Parker agonisant dans les bras de Mary Jane.

Ses assassins : les éditions Marvel et l’écrivain Brian Bendis, justifient ce crime par la motivation d’offrir à ces lecteurs un nouveau Super-Héros et ils nous garantissent dans le même temps que ce nouveau venu nous retournera le cerveau.
 Spider-Man est apparut pour la première fois en 1962 dans le Comic Amazing Fantasy nº15 sous la plume de Stan Lee et Steve Ditko. En France nous attendrons 1969 et la revue Fantask pour le découvrir. 

Pour la petite histoire, l'homme araignée serait né de l'observation par Stan Lee des mouches coller au mur de son bureau.

Après 49 ans à sauver le monde, il meurt laissant ses lecteurs orphelins, la seule chose que nous pouvons espérer, est que la mort de Peter Parker n’aura pas était vaine, et bien entendu souhaiter une longue vie (plus longue que celle de Spiderman) a ce nouveau Super-Héros.


Les Street ARt du Jeudi - Episode 16


Pour ce numéro 16 des Street ARt du Jeudi, je ne vous présenterai pas une photo que j’ai pu prendre moi-même dans les rues de Barcelone, mais issu d’un lien que l’on m’a envoyé. Il s’agit du monument de l’armée Soviétique de Sofia en Bulgarie. D’un premier abord cela peut faire sourire, mais il est dommage, même si cela est fait avec un certain talent, que des monuments quel qu’ils soient puisse être profanés.

« L'art urbain, récemment renommé Street art, est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisé dans la rue ou dans des endroits publics et englobe diverses méthodes telles que le graffiti, le pochoir, la mosaïque, les stickers ou les installations. C'est principalement un art éphémère. »

Mes Lectures du Moment – Episode 16


Je me suis rendu compte au fur et à mesure des semaines, que ce petit jeu hebdomadaire de présenter mes lectures passés, présentes et futures, me permettais de voir mes tendances du moment. Et la semaine qui vient de passée était réellement sous le signe de la jeunesse.

J’ai chroniqué dans un premier temps, La dynastie de Donald Duck Tome 1 de Carl Barks, une anthologie exceptionnelle du père spirituel du plus célèbre des canards.

Dans un autre genre, mais toujours en jeunesse, j’ai lu et chroniqué Soldat Peaceful de  Michael Morpurgo, très belle histoire d’un jeune homme et sa famille confronté à la guerre.

Je suis toujours et encore dans la lecture de la série 20th Century Boys de Naoki Urusawa me voila plongé dans le tome 16.
 

Et je viens de commencer la lecture  « En finit-on jamais d’aimer ceux que l’on aime de Martine Moriconi, livre  offert par les éditions Robert Laffont et Livraddict.
 

Cette semaine je vous invite à découvrir le livre Légende de David Gemmell aux éditions Bragelonne, ebook qui est pour quelques jours ou quelques heures gratuit sur ithunes et app store.

La Rentrée littéraire 2011

C’est de coutume qu’à peine les grandes vacances pointant à l’horizon, que déjà nous avons un œil sur la rentrée littéraire. Qui cette année s'annonce bien chargée, je vous laisse découvrir une petite liste non exhaustive de ce qui nous attend.
Albin Michel
Amélie Nothomb : Tuer le père
Eric-Emmanuel Schmitt : La femme au miroir
Eliette Abécassis : Et te voici permise à tout homme
Stéphane Hoffmann : Les autos tamponneuses
Michèle Halberstad : La petite
Virginie Deloffre : De très loin dans le Nord
Ali Magoudi : Un sujet français
Estelle Nollet : Le bon, la brute, etc.
Paolo Sorrentino : Ils ont tous raison
Patricia Reznikov : La nuit n'éclaire pas tout
Dinaw Mengestu : Ce qu'on peut lire dans l'air
Eric Puchner : Famille modèle

Actes SudMetin Arditi : Le Turquetto
Hélène Frappat : Inverno
Kaoutar Harchi : L’ampleur du saccage
Paul Auster : Sunset ParkMarc Trillard : Mamiwatas
Véronique Bizot : Un avenir
Sylvain Coher : CarénagesRégine Detambel : Son corps extrêmeDenis Lachaud : J’apprends l’hébreu
Caroline Lunoir : La faute de goût
Lyonel Trouillot : Notre belle amour humaine
Au Diable Vauvert
Titiou Lecoq : Les morues
Youssouf Elalamy : Les clandestins
Lydia Lunch : Paradoxia
Douglas Coupland :  Joueur_1
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Belfond
Nic Pizzolatto : Galveston
Douglas Kennedy : Cet instant-là
Haruki Murakami : 1Q84
Hubert Klimko : Les toutes premières choses
Giovanni Arpino : Mon frère italien
Harlan Coben : Remède mortel


Calmann-Levy
Valérie Péronnet : Jeanne et Marguerite
Téa Obreht : La femme du tigre
Elise Fontenaille : Le palais de mémoire
Howard Jacobson : La question Finkler
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Le Cherche Midi
Patrice Delbourg : Un soir d’aquarium
Jean-Claude Pirotte : Place des Savanes
François Chollet : Un garçon si tranquille
Valère Staraselski : Le maître du jardin
Bertina Henrichs : Le jardin
Robert Juan Cantavella : Proust Fiction
Gardner McKay : Toyer
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Denoël
Khadi Hane : Des fourmis dans la bouche
Eleanor Catton : La répétition
Céline Minard : So Long, Luise
Frédéric Chouraki : La loi du plus fort
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Fayard
Sacha Sperling : Les cœurs en skaï mauve
François Cérésa : Sugar Puffs
Morgan Sportès : Tout, tout de suite
Jean Billeter : Les anciens dieux blancs de la brousse
Isabelle Coudrier : Va et dis-le aux chiens
Sébastien Marnier : Mimi
Eric Miles Williamson : Bienvenue à Oakland
Michel Rio : Le vazaha sur Terre
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Flammarion
Fanny Saintenoy : Juste avant
Mathieu Belezi : Les vieux fous
Jacques Verdier : Le temps d’apprendre à vivre
Charles Berling : Aujourd’hui, maman est morte
Frédéric Couderc : Et ils boiront leurs larmes
Henri Loevenbruck : L’Apothicaire
Sylvie Bourgeois : Sophie à Cannes
Laurent Seksik : La légende des fils
Chahdortt Djavann : Je ne suis pas celle que je suis Psychanalyse I
Daniel Arsand : Un certain mois d’avril à Adana
Philippe Pollet-Villard : Mondial nomade
André Boris : Attention au Scorpion
Andrea H. Japp : Les enquêtes de M. de Mortagne – 1 : Le brasier de justice
Arthur Dreyfus : Le livre qui rend heureux
James Frey : Le Dernier Testament
André Aciman : Adieu Alexandrie
André Aciman : Alibis
Ida Hattemer-Higgins : L’histoire de l’Histoire
Julia Franck : Feu de camp
Paulo Coelho : Aleph
Doris Lessing : Le temps mort
Gordon Reece : Piégées


Gallimard
David Foenkinos : Les souvenirs
Brina Svit : Une nuit à Reykjavik
Antoni Casas Ros : Chroniques de la dernière révolution
Lilyan Beauquel : Avant le silence des forêts
Jon Stefansson : La tristesse des anges
Philippe Adam : Jours de chance
François Beaune : Un ange noir
Benjamin Berton : La chambre à remonter le temps
Stéphane Audeguy : Rom
Eric Sommier : Dix
Carole Martinez : Du domaine des murmures
Eric Fottorino : Le dos crawlé
Laurence Cossé : Les amandes amères
Bonvicini Cater : Le lent sourire
Boualem Sansal : Rue Darwin
Catherine Millot : O solitude
Thierry Laget : La lanterne d’Aristote
Colette Fellous : Un amour de frère
Philip Roth : Le rabaissement
..
Grasset
Charles Dantzig : Dans un avion pour Caracas
Frédéric Beigbeder : Premier bilan après l’apocalypse (essai)
Simon Liberati : Jayne Mansfield 1967
Marien Defalvard : Du temps qu’ on existait
Philippe Jaenada : La femme et l’ ours
Gilles Martin-Chauffier : Paris en temps de paix
Michel Schneider : Comme une ombre
Sorj Chalandon : Retour à Killybegs
Lorette Nobecourt : Grâce leur soit rendue
Gilles Rozier : D’ un pays sans amour
Edgardo Cozarinsky : Loin d’ où
Nicholas Shakespeare : Héritage
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Héloïse d’Ormesson
Michel Quint : Les amants de Francfort
Pierre de Vilno : Elvire et Jérémy
Jean d’Ormesson : La conversation (dialogue)
.
Robert Laffont
Éric Deschodt : Iphigénie Vanderbilt
Sophie Fontanel : L’envie
Yves Viollier : La mer était si calme
Steve Sem-Sandberg : Les dépossédés
Dan Simmons : Drood
Charles Stross : La guerre des familles
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Lattès
Delphine de Vigan : Rien ne s’oppose à la nuit
Hervé Le Tellier : Electrico C
Philippe Lançon : Les îles
Thierry et Charles Consigny : Le soleil, l’herbe et une vie à gagner
Anne Sophie Stefanini : Vers la mer
Joshua Ferris : Le pied mécanique
Alexi Zentner : Les bois de Sawgamet
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Nil
Slimane Kader : Wam
Linda Lê : À l’enfant que je n’aurai pas
Romain Slocombe : Monsieur le Commandant
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Éditions de l’Olivier
Chritian Oster : Rouler
Jonathan Franzen : Freedom
Véronique Ovaldé : Des vies d’oiseaux
Shumona Sinha : Assomons les pauvres
.
Philippe Picquier
Ryû Murakami : Chansons populaires de l’ère Showa
.
Plon
Delphine De Malherbe : L’aimer ou le fuir
Maraux Guyon : Latex ect.
Sigolène Vinson : J’ai détesté le pays des braves
Léonora Miano : Ces âmes chagrines
.
P.O.L.
Emmanuel Carrère : Limonov
Marie Darrieussecq : Clèves
Christine Montalbetti : L’évaporation de l’oncle
Jean Rolin : Le ravissement de Britney Spears
Marco Lodoli : Les prétendants
.
Seuil
Annie Duperey : Le poid et la plume
Arturo Perez Reverte : Cadix ou la diagonale du fou
David Grossman : Une femme fuyant l’annonce
Patrice Pluyette : Un été sur le Magnifique
..
Stock
Eric Reinhardt : Le système Victoria
Sofi Oksanen : Les vaches de Staline
Dominique Sigaud : Franz Stangl et moi
Laurence Tardieu : La confusion des peines
Brigitte Giraud : Pas d’inquiétude
Stéphane Guibourgé : Le nom de son père
Matthieu Jung : Vous êtes nés à la bonne époque