Auteur: Alexandre
Jollien
Titre Original: Éloge de la faiblesse
Nombre de pages : 96
Lu : Novembre 2011
Prix : 3,90€
Quatrième de couverture : Éloge de la faiblesse retrace un itinéraire
intérieur, une sorte de conversion à la philosophie. L’auteur, handicapé de
naissance, imagine recevoir la visite de Socrate en personne. Dès lors, s’en
suit un échange où de proche en proche émergent des outils pour apprendre à
progresser dans la joie, garder le cap au cœur des tourments et ne pas se
laisser déterminer par le regard de l’autre. La philosophie est ici un art de
vivre, un moyen d’abandonner les préjugés pour partir à la découverte de soi et
bâtir sa singularité. Peu à peu, une conversation s’opère, le faible, la
vulnérabilité, l’épreuve peuvent devenir des lieux fertiles de liberté et de
joie.
Mon avis : C’est une conversation entre un
jeune homme et Socrate, un jeune homme handicapé qui au long de cette
conversation expliquera au philosophe comment il a pu surpasser son handicap
grâce à la philosophie.
Il n’est pas question dans ce livre
de philosophie compliquée et inaccessible au commun des mortels, mais comment
l’auteur a pu se servir de la philosophie pour se surpassé lui-même, venir à
bout de son handicap, ou du moins vivre avec lui du mieux possible.
Compte tenu des étapes vécus par l’auteur qu’on est touché par ce livre,
mais je dois reconnaître que je n’ai pas réellement accroché à la lecture de ce
livre.
Je m’attendais à autre chose, je
reste impressionné par le chemin parcouru par Alexandre Jollien, mais son essai
m’a fait un peu penser aux livres de « comment solutionner ta vie avec la
philosophie » et ce n’est absolument pas le genre d’ouvrages qui
m’interpellent.
Pour conclure, je dirais que cette
lecture ne rentrera pas dans les annales de mes lectures, ce livre n’était tout
simplement pas fait pour moi. Mais je tiens à saluer l’auteur Alexandre Jollien
qui a su dépasser les préjugés et d’une manière ou d’une autre se créer grâce à
la philosophie.