Auteur: David
Servan-Schreiber
Titre Original: On peut se dire au revoir plusieurs fois
Date de Parution : 2011
Éditeur : Robert Laffont
Éditeur : Robert Laffont
Nombre de pages : 158
Lu : Juillet 2011
Prix : 14€
Quatrième
de couverture : Dans un livre court, une centaine de pages, et très personnel,
David Servan-Schreiber fait le bilan de son long combat contre le cancer,
plusieurs fois victorieux et semé de rechutes. Avec lucidité, et de façon
lumineuse, il parle de la douleur, de la peur et du courage face au mal, mais
aussi de l’espoir, de la force de vivre, et de ses rêves d’avenir. Écrit par un
homme que la maladie atteint mais ne brise pas, ce témoignage poignant évoque
la mémoire de Jean-Dominique Bauby et de son Scaphandre dans la manière qu’il a
de nous faire aimer la vie en regardant la mort en face.
Mon avis : Dimanche une fois que j’ai eu fini
la lecture de ce livre, je ne savais pas trop si faire une chronique sur ce
livre, étant donné l’actualité récente (David Servan-Schreiber est décédé ce
même dimanche 24 juillet 2011).
Le fait de lire ce livre et de le
chroniquer est avant tout pour moi comme
une mini-thérapie, le 8 octobre dernier partait ma petite maman terrassée par
un cancer du cerveau après avoir lutté durant prés de deux ans et demi, nous
laissant ma petite sœur mon beau-père et moi.
Vous pouvez imaginer que la lecture
de ce livre n’a pas était toujours facile pour moi, sachant que dans la
première partie du livre il décrit les symptômes de la maladie, ce qui m’a fais
me remémorer de très difficiles souvenirs.
Le livre est suivit de deux autre
parties, la première où il nous explique qu’il faut accepter la maladie et avoir
conscience de la mort sans pour autant baisser les bras, et comme il est écrit,
rester positif même dans les moments difficiles sans pour autant nier la
maladie. La dernière partie est plus intime, il est question de lui et ses
proches.
Je profiterai de cette chronique
consacrée au cancer pour remercier tout le corps médical qui nous à accompagné
pendant ces deux ans et demi. Et un merci tout particulier à l’équipe de soins
palliatifs de Mâcon.
Cette lecture me donne aussi la
possibilité de vous inviter à faire comme moi, chaque année et ceci depuis
quelques années je fais un don, en fonction de mes moyens.