Je suis l'homme le plus beau du monde, Cyril Massarotto

 

Auteur : Cyril Massarotto
Titre Original : Je suis l’Homme le plus beau du monde
Date de Parution : 2010
Éditeur : Xo éditions
Nombre de pages : 239
Lu : Octobre 2010

Résumé : Cet homme est une légende. Pourtant, il rêve de disparaître. Et quand il rencontre enfin sa raison de vivre, il est peut-être déjà trop tard…
« Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été beau. Je dis beau, mais dans la bouche des gens j’entends plutôt canon, magnifique, sublime, incroyable. Plus généralement, en me voyant, les gens disent : « Waouh ! »
Ces mots, je les ai entendus dans toutes les langues, sur tous les tons. On me les a dits en pleurant, en hurlant, ou juste avant de s'évanouir. On me les a dits à voix basse, sans oser me regarder, ou en écarquillant grand les sourcils. Je suis l’Homme le plus beau du monde. Bien sûr, je suis malheureux. »

Mon avis : Je dois avouer qu’avant d’acheter le livre, j’ai attendu et tardé quelque peu. Le titre tout d’abord « je suis l’homme le plus beau du monde » aAquoi devais-je m’attendre ? Ensuite la couverture, je m’excuse de dire cela mais je la trouve particulièrement peu vendeuse. Mais ayant déjà lu en son temps d’autres livres de l’auteur et ayant à chaque fois apprécié ses livres, j’ai bien fini par me laisser tenter.
Et une nouvelle fois, je n’ai pas été déçu, le style de l’auteur fluide rend facile est agréable la lecture de son livre. Les thèmes abordés  son intéressants, cette idée au final que « la masse » ne réfléchi pas par elle-même, se besoin de normalité, peur de la différence. Et cette autre thème qui m’a plu est cette recherche perpétuelle du bonheur, où si ce n’est du bonheur, cette envie d’être heureux. Ce sentiment de ne jamais se sentir heureux avec ce que l’on à.
Malgré des thématiques intéressantes, un style facile est agréable, je reprocherai à l'auteur le peu de profondeur dans les sujets abordés, il reste souvent à la superficie des choses.

Mais cette lecture fut agréable et vu la petitesse du livre (239 pages) il est à lire d’une traite.